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Mes passions

- Another Blogger Blog's


Synopsis :

Dans un petit village de l'Angleterre, Mrs. Bennet veut marier ses filles afin de leur assurer un avenir serein.
 L'arrivée de nouveaux voisins, Mr. Bingley et son ami Mr. Darcy, plonge Jane et Elisabeth dans des affaires de coeur tumultueuses. Cette dernière découvre l'amour en rencontrant le bel et aristocratique Darcy, mais tous deux devront passer outre leur orgueil et les mauvaises interprétations qui s'ensuivent avant de tomber dans les bras l'un de l'autre...





Mon avis



C’est un très beau film, romantique à souhait.

Les paysages sont magnifiques et les deux principaux acteurs superbes.
J'ai également bien aimé la mère, entourée de toute sa famille, qui veut à tout prix marier ses filles et qui met à contribution le père, elle est parfois très drôle.
Tout contribue à en faire une belle réussite.



Comments: (7)
Mélusine



Bravo à toi.
Quel titre souhaites-tu recevoir en plus de la surprise ?
Envoies moi un titre ou ta Wish-List :-)

Merci à toutes d'avoir participé.
Quatrième de couverture :

Le onzième jour après ma mort, papa est allé porter ma couette à la teinturerie. Monter la rue de Couédic, les bras chargés de ma literie, le nez dedans. Il se dit qu'il renifle mon odeur. En fait, ça pue, je ne les ai jamais fait laver ces draps ni cette couette. Ca ne choque plus. Au contraire : subsiste encore quelque chose de moi dans les replis blancs qu'il porte à la teinturerie comme on porterait le saint sacrement. Papa pleure le nez dans le coton. Il profite. Il sniffe encore un coup la couette, et il pousse enfin la porte du magasin.
Papa ne peut plus traîner. Condoléances, etc. Débarrasse papa de la couette. Papa aurait voulu que ça dure, une file d'attente, une livraison, une tempête, juste que ça dure le temps de respirer encore un peu les bribes de mon odeur. Papa se dépouille, il perd, il perd.

Ce que j'en ai pensé :

Un fils est mort brutalement et de l'endroit d'où il parle il nous décrit les effets de sa mort sur ses parents et surtout sur son père. Il décrypte tous ses gestes, Mieux encore, il les analyse et les interprète, il ausculte cette détresse, cette grande souffrance. Les larmes de son père sont presque insupportables. Ce père qui se souvient : leurs engueulades défilent, les bons moments passés ensemble… allers et retours sans cesse dans sa tête.
Il nous raconte sa mort fulgurante, des faits et gestes de son père, et de temps en temps de sa mère, lors des heures qui ont précédé cette mort, de la préparation des funérailles qui se met en marche immédiatement après dans un rythme qui échappe totalement à ses parents, des parents qui n'étaient bien sûr pas prêts car ce départ n'était tout simplement pas dans l'ordre des choses. La fin est étonnante, des coïncidences sont interprétées pour devenir les derniers vœux de ce fils disparu, une fin qui pour moi n’est pas vraisemblable, à l’opposé du début.
C’est bouleversant, mais aussi quelquefois troublant, car c'est la personne qui est partie qui parle et on se retrouve d'un autre côté qui se veut presque rassurant. Cet auteur nous parle de cette douleur de l'absence avec des mots qui frappent juste. J'ai vraiment ressenti beaucoup d'émotions en lisant les deux tiers du livre qui sont très proches d’une réalité, la fin est surprenante, irréelle. C’est magnifique de savoir et pouvoir écrire la douleur qu'entraîne la disparition d'une personne aimée, une douleur que j'ai toujours trouvée indescriptible. Je n’ai pas aimé la fin trop irréelle à mon sens par rapport au début.

          

Bonjour à tous,

C’est aujourd’hui que mon blog souffle sa première bougie.

Merci donc à tous ceux qui passent sur mon blog, qui est une très belle aventure. Je ne connaissais pas du tout la blogosphère et j'y ai rencontré de charmantes personnes et des échanges amicaux et intéressants s'y font sur les livres.

Pour l’occasion, j’ai décidé de concocter un petit concours.
Pour participer, il vous suffira de mettre un commentaire au bas de ce message en me disant que vous participez. Vous avez jusqu’au dimanche 27 mars à 23h59 pour vous inscrire. Je ferai ensuite un tirage au sort pour désigner le gagnant…

Mais qu’est ce que le gagnant gagnera allez-vous me demander ? Un livre de son choix ainsi qu’une petite surprise (de mon choix) !
Alors, à vos commentaires !!!


Quatrième de couverture
"Personne, jamais, n’a osé s’opposer aux décisions de Daniel MacGregor. Pas même ses deux fils, encore moins sa femme. Une seule personne en réalité est capable de lui tenir tête : sa propre fille.
Fière et indépendante, Serena MacGregor a hérité du tempérament fougueux de ses ancêtres écossais. Echappant à l’autorité de son père, elle décide à la fin de ses études de partir travailler sur un paquebot de croisière. Mais alors qu’elle goûte au plaisir d’être seule et libre pour la première fois, elle ne se doute que chaque soir, un mystérieux passager l’observe pendant son service.
Patiemment, Justin Blade attend le moment propice où il abordera Serena. Habitué à ce qu’aucune femme ne lui résiste, il imagine déjà le plaisir qu’il aura à la séduire. Mais il ne sait pas encore quelle partie difficile il s’apprête à jouer.»

Ce que j'en ai pensé

L'histoire commence à bord d'un paquebot de luxe lors d'une croisière dans les Caraïbes. Serana fait partie du personnel, elle y travaille comme croupière au casino. C'est sa dernière croisière après un an d'indépendance, qu'elle a choisi, loin de sa riche famille. Un soir elle va rencontrer un grand joueur, Justin. Propriétaire de plusieurs casinos et joueur professionnel il va être fasciné par cette jeune femme. L'attirance est réciproque, mais ils ont tous les deux de forts caractères et ne plient pas facilement surtout que Daniel, le patriarche des Mac Grégor s'en mêle. Une sorte de jeu va s'instaurer entre eux mais ce jeu  pourrait bien les conduite au-delà de ce qu'ils auraient pu penser
A peine commencé et j'étais plongée dans le roman.
L'histoire avec ces deux jeunes gens est assez prévisible mais c'est malgré tout une belle histoire très romantique avec des personnages qui m'ont bien plu, qui ont de la personnalité et un drôle de caractère. C'est le premier livre de la série et j'attends la suite qui je l'espère ne vas pas tarder.


Quatrième de couverture


Puisant dans ma lointaine mémoire scolaire, j'improvise un nouvel exercice : cette fois il ne s'agit plus de nommer les lettres, mais de prononcer le son qu'elles forment : "D'eu", "T'eu", "Sssss"... Jeux de lèvres, le courant passe. et maintenant, comme si c'était prévu depuis le départ, j'annonce le plat de résistance. Nous allons terminer cette séance en lisant un mot, un vrai. Je reprends l'explication sur les syllabes. Je doute d'être vraiment compris mais face à moi les yeux sont allumés. On y va; Sur la feuille maintenant les lettres vont deux par deux, je m'applique. B... A...
La barre est trop haute. Opiniâtre ou inconscient, je poursuis. J'insiste sur le B ("B'eu", font les lèvres), j'exagère le A (Monsieur Jourdain, salut), avec force gestes je mime la consonne qui vient tomber sur la voyelle, allez Nabil. "B'eu" et A, B+A ?
- Heu... Bi ?"

Ce que j'en ai pensé

"Ce livre est le récit une année de cours d'alphabétisation donnés dans une association au cœur d'un quartier populaire au nord de Paris" par Bertrand Guillot. Roman ou témoignage ? L'auteur répond à cette question dans son avant propos.
Les occasions de se rendre utile ne manquent pas, il faut juste franchir le pas, oser aller vers l'autre. C'est ce que fait l'auteur, parce qu'il a du temps, et qu'il se pose la question "Que pouvait-il faire d'utile, de concret ?". Aussi lors d'une rencontre avec son amie Marie qui donne des cours d'alphabétisation il se propose pour rejoindre son association. Au début sans repères il panique, il n'est pas formé, mais peu à peu, de cours en cours, il va s'investir pour aider les "apprenants", pour les aider dans leur quotidien : savoir lire, savoir écrire ne serait-ce que pour remplir les documents administratifs, prendre la bonne direction en sachant lire les panneaux, comprendre leurs factures, etc.
50 millions d'illettrés en Europe. Une étude sur l'illettrisme de INSEE montre que près d'un adulte sur dix souffre d'illettrisme en France quelque 9 % des adultes de 18 à 65 ans sont dans une situation préoccupante par rapport à l’écrit et éprouvent des difficultés à lire un texte dans la vie quotidienne comme un formulaire administratif ou des panneaux de circulation…
Ce livre est un témoignage plein de promesses et de générosités. J'ai beaucoup d'admiration pour ces personnes qui donnent de leur temps, de leur connaissance, et de leur générosité pour aider les autres. Il faut être très motivé dans son action, avoir de la volonté et de l'énergie et ce n'est pas si facile. Une belle leçon d'humanité mais également un livre agréable à lire et très intéressant.qui m'a beaucoup apporté, il m'a démontré pourquoi des choses sont si difficiles pour certains alors qu'elles semblent si faciles et évidentes pour d'autres.

Quatrième de couverture

Rédactrice pour un Blog féminin, l'écriture tente Sophie Tagel depuis son adolescence où elle s'amusait à griffonner des histoires avec ses trois sœurs. Rien de la prédestinait vers la littérature. Parler du Japon fut néanmoins une évidence.
A travers ce récit, l'auteur vous transporte au cœur du Japon d'après guerre om les femmes ont peu de place et où les apparences supplantent l'individualité. C'est le récit d'un voyage à travers les yeux d'une adolescente, Setsuko, à l'âge où les caractères se forgent.
Après la seconde guerre mondiale, vient la reconstruction. La fière Setsuko y découvre l'inégalité homme – femme et la vie sociale compliquée parmi les élèves. C'est un véritable apprentissage de la vie en communauté, les obligations, les histoires amoureuses et la découverte du vrai sens des mots Amour et Amitié.
Voici les péripéthies d'une adolescence mouvementée bercée, par les coutumes étrangères.

Ce que j'en ai pensé :

L'histoire nous emmène au Japon, à Kamakura, elle nous parle de Setsuko qui est venue au monde après la seconde mondiale. Setsuko fait partie d'une bonne famille pour qui les traditions ont une grande importance. Elle va rencontrer nombres de difficultés face à l'autorité de sa mère qui veut en faire une petite fille obéissante et exemplaire. Une mère qui  l'élève sans amour et qui ne se soucie que des apparences alors qu'elle-même n'a pas une conduite irréprochable.
J'ai passé un agréable moment plongée dans ce roman. Il se lit facilement et j'ai bien aimé le format de cette édition.
Ce livre nous raconte l'histoire de cette petite japonaise face à sa mère, mais également ses relations affectueuses avec ses grands-parents, ses envies, ses rancœurs. Il nous décrit également les coutumes, comme par exemple le jour du Shichi-go-san, où les filles de trois et sept ans ainsi que les garçons de trois et cinq ans allaient prier au temple en Kimono pour la préservation de leur santé, mais également des coutumes ancestrales comme les mariages arrangés. Une histoire colorée de jolis kimonos en soie, de fleurs et de paysages lointains. Un bon moment de lecture


Quatrième de couverture

"Certains critiques m'avaient détourné de lire "Au bon beurre", laissant entendre qu'il existait, entre Jean Dutourd et le couple immonde qu'il a peint, une obscure connivence. Or, à mesure que, ces jour-ci j'avançais dans le livre, j'éprouvais le sentiment de délivrance : Enfin me disais-je, tout de même, cela aura été dit. Ce couple à qui, plus ou moins, nous aurons eu tous affaire, pendant quatre ans, le voilà dénoncé, exposé sur un pilori qui désormais dominera l'histoire de ces noires années. Que l'auteur de ce beau livre soit un homme courageux, il faudrait pour le nier ne rien connaître de la lâcheté qui, aujourd'hui, incite tant de paupières à se baisser opportunément scelle tant de lèvres" (François Mauriac).

Ce que j'en ai pensé

Nous sommes à Paris sous l'occupation, une période sombre de notre histoire où certains n'ont pas hésité à s'enrichir du malheur des autres. Le couple Poissonard qui tient une crèmerie apprend très vite comment s'y prendre pour se remplir les poches : marché noir, délation, tout est bon pour profiter du malheur des autres Et le soir sans aucun scrupule ils caressent l'argent amassé et réfléchissent à quelques combines malpropres pour profiter encore plus, ils sont vraiment odieux car quelques années plus tard, quand le vent tourne, ils n'hésitent pas à se faire une réputation de bons patriotes en faisant arrêter un allemand de leurs amis dont ils avaient largement profité. Et puis il y a Léon qui au début du livre est un jeune homme idéaliste qui va s'évader de son oflag, dénoncé par Mme Poissonard, il va devoir s'enfuir. Nous le suivons au cours de ces années, à force de patients efforts, de tâtonnements et d'erreurs il va devenir un homme, un homme mais aussi un vrai patriote au contact d'Alphonse, résistant, qui va l'initier à la politique.

J'ai beaucoup apprécié la lecture de ce livre, un roman facile à lire dans lequel Jean Dutourd dénonce des faits peu glorieux avec une belle écriture. Le cynisme et la cupidité aux travers de ce couple de crémiers et de certains de leurs clients est parfaitement décrit, j'en suis arrivée à me mettre en colère après ce couple. Il glorifie également le patriotisme par son personnage du jeune soldat qui vit ses premiers pas vers la politique mais aussi par ceux qui l'aide ou l'initie. Un livre dans lequel je me suis plongée et que j'ai eu du mal à me défaire avant la fin, et pourtant cette fin m'a déçue même si je m'y attendais un peu. Roger Hanin qui est un acteur que j'apprécie beaucoup a joué le rôle de ce crémier peu scrupuleux, je suis curieuse de le voir dans ce rôle.

Quatrième de couverture :
Je m'appelle Jean Atwood. Je suis interne des hôpitaux et major de ma promo. Je me destine à la chirurgie gynécologique. Je vise un poste de chef de clinique dans le meilleur service de France. Mais on m'oblige, au préalable, à passer six mois dans une minuscule unité de " Médecine de La Femme ", dirigée par un barbu mal dégrossi qui n'est même pas gynécologue, mais généraliste! S'il s'imagine que je vais passer six mois à son service, il se trompe lourdement. Qu'est-ce qu'il croit? Qu'il va m'enseigner mon métier? J'ai reçu une formation hors pair, je sais tout ce que doit savoir un gynécologue chirurgien pour opérer, réparer et reconstruire le corps féminin. Alors, je ne peux pas - et je ne veux pas - perdre mon temps à écouter des bonnes femmes épancher leur coeur et raconter leur vie. Je ne vois vraiment pas ce qu'elles pourraient m'apprendre.


Ce que j'en ai pensé :
Jean Atwood, interne des hôpitaux et quatre fois major de promotion, vise un poste de chef de clinique en chirurgie gynécologique alors que va-t-elle apprendre dans ce service de "médecine de la femme"? Elle ne veut pas écouter ces femmes parler à longueur de journée de pilule, de contraception, d'avortement ou autre, elle ce qu'elle veut c'est travailler au bloc, et puis ce médecin, le docteur Karma, pour qui se prend-il ? Il n'est même pas gynécologue ce n'est qu'un médecin généraliste, il les séduit toutes, ses patientes, ses infirmières et assistantes et pourtant il n'est même pas beau ? Jean, cette arrogante interne, va vite devoir se remettre en question.
J'ai adoré. Non seulement c'est un livre qui parle de la femme, mais de plus et avec beaucoup de pudeur l'auteur a su, avec parfois humour, nous peindre des situations parfois très délicates vécues par les femmes devenues patientes.
J'ai fortement apprécié les deux principaux personnages, j'ai savouré leur face à face où dès le premier instant la tension est montée:
Tout d'abord cette jeune interne arrogante qui d'entrée de jeu nous dit "je ne veux pas être là, je n'ai rien à y faire, ces histoires de femmes m'agacent". Cette jeune interne qui va être déstabilisée dès les premières consultations par ces nouvelles méthodes, qui va complètement changer sa manière de voir les choses et qui va s'avérer d'une extrême sensibilité.
Et ce médecin qui est peut être un gentil barbu qui sait écouter ses patientes et les mettre en confiance, mais qui vis-à-vis de cette brillante interne est le praticien expérimenté qui sait tout. Ce médecin, assisté de sa fidèle assistante et de ses dévouées infirmières, qui veut tout simplement guider, malgré elle, Jean vers une médecine plus humaine. Un médecin comme lui tout le monde voudrait en avoir un.
Tout semble les séparer, et pourtant… De plus on rencontre dans ce livre les patientes qui nous racontent leurs histoires en nous révélant leurs angoisses et leurs peurs mais aussi leurs souffrances et leurs espoirs. Qui nous parlent de leurs relations avec d'autres médecins et qui nous disent pourquoi elles viennent voir le docteur Karma.
Même si la fin est un peu surprenante c'est un livre que j'ai vraiment beaucoup aimé. J'ai hâte de découvrir d'autres récits de Martin Winckler et j'espère en retirer le même enthousiasme.

Un grand merci au Forum Club de Lecture ainsi qu'aux Editions Folio pour cet envoi !


          

Quatrième de couverture :

"Quels événements, dans la Thiérache d’après-guerre, peuvent conduire du bistrot « Le Dernier Sou » à l’hôtel du Palais et de La Primatiale de Lyon, puis aux vitrines d’Amsterdam ? Le refus d’une vie tracée à l’avance, la passion de l’écriture ou tout simplement l’Amour ? En dévoilant le quotidien de Laure et Lou, Claude Mouflard livre ici un bouleversant témoignage humain. Par sa sincérité, ce roman nous laisse un inoubliable parfum de candeur et de jeunesse…"

Ce que j'en ai pensé

Laure dix-sept ans, sans père et délaissée par sa mère qui vit sa vie à Paris, vit à Etricourt avec sa grand-mère Adrienne au début des années 1960. Dans leur misérable maison elles passent leurs journées à tisser des nids d'oiseaux. Julia, sa voisine, est sa confidente et la protège de sa grand-mère qui a des idées un peu anciennes sur la vie et surtout par rapport aux relations filles-garçons.
Mais un jour le bistrot "Le dernier Sou" est loué pour une durée indéterminée par Théodore Dams. Laure doit y aller faire le ménage et de là sa vie va changer. Cet homme beaucoup plus âgé qu’elle va lui faire découvrir les livres, l'écriture et le véritable amour même si Théo se l'interdit. Mais la réaction de la grand-mère va être cinglante.
Dans une deuxième partie, nous découvrons le personnage de Lou qui arrive à Etricourt, une femme écorchée par l'abandon de l'homme qu'elle aimait. Une Lou qui va marcher sur les traces de Laure qu'elle apprend à connaître sans l'avoir vue et de Théodore son père qu'elle avait un peu délaissé.
Avec un peu de recul je dis que c'est une belle lecture, une belle histoire avec des femmes très attachantes. Ma première réaction était un peu mitigée car ce n'est pas un récit facile mais il est écrit avec un grand talent. L'auteur nous transmet un grand moment d'émotions, différentes facettes de l'amour, l'amour bafoué d'une mère pour sa fille, l'amour passion, l'amour que vous fait vibrer mais aussi celui qui vous torture et vous détruit.
Une lecture qui ne m'a pas laissée pas indifférente, je vous laisse donc le plaisir de le lire